Dans ses réflexions sur l’art, le philosophe et historien de l’art français Georges-Didi Huberman aborde, dans son ouvrage Ce que nous...
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Le titre de l’ouvrage, Panser Gaza (Editions Fiat lux, 1ère édition - septembre 2024), montre clairement l’intention de son auteur Ali Benziane ; elle consiste à nos yeux à panser Gaza en veillant à ce qu’on y pense. Disons-le illico presto, parce qu’il est dérangeant, ce livre n’est pas à la mode, et la FNAC l’a censuré. « Panser » Gaza de manière à la soigner, à la calmer de ses douleurs, de ses cicatrices ô combien graves, irrémédiables, cela est inéluctable, malheureusement, dans le présent, certes, mais susceptibles d’être oubliées dans le futur, si on le souhaite bien. Le titre Panser Gaza pose, en style vrai, le principal défi, à quiconque soucieux de penser à Gaza : “Comment la panser ?” L’auteur, conscient de son devoir envers cette partie du monde, centre du monde, car tout un chacun est concerné, qu’on le veuille ou non (souvenons-nous de Victor Hugo : « Ma vie est la vôtre, votre vie est la mienne, vous vivez ce que je vis; la destinée est une. Prenez donc ce miroir, et regardez-vous-y» (Les Contemplations) ; chacun de nous est donc au centre du monde, la partie c’est le tout, et le tout c’est la partie. Sensible au drame palestinien, A. Benziane, sans être responsable de quoi que ce soit par rapport à ce qui se passe à Gaza, se sent pourtant responsable et exprime son engagement avec liberté et courage. Or, afin de «panser» Gaza, comment la «penser» ? C’est là la question véritable. On guérit véritablement un patient quand on a réussi à lui offrir les médicaments les plus efficaces, ou alors, on est à côté de la plaque. A. Benziane, docteur en pharmacie, cherche à notre sens à panser Gaza après l’avoir pensée sérieusement, et ce n’est pas un jeu de mots, car il sait bien qu’il n’y a pas de place au jeu tant que des vies humaines meurent ou risquent la mort. L’affaire est donc sérieuse. Pour ce, le livre de A. Benziane a le mérite de proposer une analyse détaillée des enjeux et des défis à relever, ces derniers ne se résolvent avant tout que par la pensée, ce qu’on pourrait d’ailleurs considérer comme une qualité humaine qui passe par la mise en branle des idées reçues. Pour le dire clairement, je pense à Gilles Deleuze, l’auteur de Deux régimes de fous (1975-1995), dont se réclame A. Benziane, qui écrit ironiquement par ailleurs dans un autre livre que parler d’une page blanche dans l’écriture est absurde dans la mesure où il n’y a pas, en principe, de page blanche tant et si vrai que celle-ci n’est vide ou blanche qu’apparemment, tandis qu’en réalité elle regorge déjà de clichés. Voilà pourquoi ce livre est fascinant, c’est avant tout une invitation à panser Gaza par la pensée, l’analyse, le déchiffrage, la capacité critique, et, une fois cet aspect compris, on se demande évidemment comment être capable de lever le voile sur la part cachée du sionisme, une idéologie subtile, une machine fabriquant habilement du mensonge sans cesse, et on dirait que cette idéologie n’a qu’un seul but, falsifier la vérité, en faire un mensonge et un Mensonge, pour que tout discours vrai apparaisse faux. C’est ce raisonnement appelé une « pétition de principe » dans le domaine de la rhétorique qui nous paraît qualifier judicieusement le discours sioniste, signifiant tout raisonnement capiteux dans lequel on prend pour point de départ ce qui doit être démontré. Un point. A. Benziane s’engage intellectuellement à faire du politique contre la politique politicienne. Il ne s’y exerce pas, lui, en tant que politicien, mais en tant qu’écrivain, et c’est par l’écriture qu’il essaye de pallier le mensonge et la propagande malignes véhiculés par le sionisme, ayant pour point de départ la trahison du judaïsme arabe. Pour s’en apercevoir, il suffit de feuilleter le livre Panser Gaza, qui ne manque d’attirer l’attention du lecteur de par sa dimension poétique, c’est que, A. Benziane est de ces écrivains qui savent qu’il faut allier le politique et le poétique, et ce en trouvant un équilibre entre les deux. Nous abordons ici en quoi ces deux dimensions traversent l’ouvrage entier de l’écrivain et nous démontrerons à l’évidence en quoi l’auteur et son ouvrage contribuent à une vision positive et pacifique de la question de Gaza. D’abord, le politique passe par un engagement sincère chez lui, il vise à pallier le problème palestinien car les Palestiniens sont les vraies victimes dans cette affaire, d’autant que leur innocence nous interroge. Qu’il dénonce la politique d’Israël, qu’il sonne l’alarme ne signifie pas qu’il appelle à la mort de l’Etat hébreu, loin de là, tout son travail veut la paix des Juifs et des Palestiniens vivant côte à côte. A n’en pas douter donc, l’intention de l’écrivain est la paix. Or, comme il en est conscient, pour trouver cette paix, il faut dire les choses telles qu’elles sont, et pour cela, il faut mettre fin au Mensonge, par la pensée. A. Benziane s’est attaché à cette noble besogne. En effet, l’avant-propos, trouvons-nous, est bouleversant dès lors que toutes les questions dérangeantes y sont posées. Absurdes, les arguments de l’Etat d’Israël sont d’une banalité extrême, et, à dire vrai, ils se présentent comme relever de la pure propagande rhétorique. Cependant, la logique et la raison humaines dévoilent là où le bât blesse ; la rhétorique sioniste est simplement fausse dans ce cas. En témoignent à juste titre les questions posées par l’auteur : « Les questions se bousculaient : si ses véritables ennemis sont les hauts dirigeants du Hamas, comment se fait-il qu’avec toute la technologie militaire dont il dispose, l’Etat sioniste ne peut engager des exécutions ciblées comme il l’a déjà fait à plusieurs reprises par le passé ? Pourquoi détruire toutes les infrastructures et les bâtiments de Gaza alors que la plupart des combattants du Hamas sont cachés dans des souterrains ? Pourquoi tuer autant d’enfants innocents dans ce qui s’apparente clairement à un génocide? » (l’avant-propos). C’est que la logique des choses en est une autre. L’Etat sioniste veut la négation totale du peuple palestinien, d’où son recours au “génocide”, à l’effacement total, exigeant de sa part une guerre totale visant à en finir une bonne fois pour toutes avec ceux qu’ils qualifient de “terroristes”. Aussi le choix de A. Benziane poursuit-il celui de certains intellectuels, souvent israéliens, pour le coup : Yeshayahou Leibowitz, Shlomo Sand, Ilan Pappé, Norman Finkelstein, auteurs, entre autres, cités par l’auteur de Panser Gaza. A cet effet, dans le cadre de la déconstruction du discours habituel, véhiculé par le sionisme, A. Benziane invente un concept, celui qu’il appelle « le judaïsme parodique », cette nouvelle religion que le sionisme s’est choisi d’adopter. Davantage, ce qui est fascinant dans ce livre, c’est que son auteur fait preuve d’un intellect malin tirant au clair le fait que le sionisme est dangereux non seulement pour les Palestiniens, mais également pour les Juifs eux-mêmes. Il écrit dans cette perspective : « Si les Palestiniens sont les principales victimes de la guerre totale que leur livre l’Etat d’Israël, je considère que les premières victimes de l’entité sioniste sont les juifs eux-mêmes. Les juifs trahis par une fausse promesse de rédemption, manipulés depuis des décennies par une interprétation dévoyée de la Torah, par des extrémistes qui profitent de leur puissance idéologique et technologique pour imposer leur vision du monde et leurs pseudo-valeurs héritées des pires heures de l’Occident » (l’avant-propos). La thèse de A. Benziane est désormais claire ; elle postule la vérité et elle s’oppose au suprémacisme incarnant la barbarie totale du sionisme. S’ensuit une préface d’Alain Santacreu, écrivain et philosophe, ce à travers quoi il est favorable à ce qu’il désigne par le “contre sionisme”, qu’il considère comme un humanisme. En effet, A. Santacreu, à l’instar d’Heidegger (Lettre sur l’humanisme, 1946), s’interroge de nouveau sur ce qui fait que l’homme est si brutal qu’il oublie son humanisme, notamment par rapport à son époque connue par la violence dont est responsable le “judéocide nazi”. Dans le même ordre d’idées, A. Santacreu explique dans sa préface l’idée que l’Etat d’Israël est une question à la fois politique et théologique, mais ces deux dimensions sont selon lui contredites, dans la mesure où le sionisme, en tant que mouvement nationaliste moderne exigeant le retour du peuple juif sur sa terre ancestrale n’en demeure pas moins un signe de contradiction inversant aussi bien le cours de l’histoire que la parole des prophètes d’Israël, preuve en est que « selon le prophétisme hébreu, mais aussi la tradition rabbinique et kabbalistique, le retour à Sion est un événement messianique qui ne peut se réaliser selon les données de l’histoire humaine : son accomplissement se situe à la fin de ce monde ; ce sera un événement métahistorique, eschatologique » (A. Santacreu, préface). Et comme il a été soulevé ci-haut, le sionisme est une idéologie subtile au sens où il « a introduit le nationalisme dans le judaïsme, alors que cette idéologie raciale, élaborée dans l’Europe du 19ème siècle, était contraire à l’esprit sémite des rabbins » (ibid.). A partir de là, il est évident que la création de l’Etat d’Israël représente une rupture avec la judéité qui date de très loin. Historiquement, le judéocide et le nazisme, contrairement à ce qu’on croit, ont permis au sionisme de progresser, car le judéocide a détruit plutôt le judaïsme diasporique et par conséquent, il a détruit toute résistance au sionisme. La fin de cette résistance, affirme A. Santacreu, a donné lieu à la proclamation onusienne (O.N.U.) d’un nouvel Etat juif le 14 mai 1948. Question : pourquoi l’Etat d’Israël se réfère-t-il à la Bible ? Il est à savoir que cette référence au “Grand Israël” ne date pas d’aujourd’hui, car les sionistes y ont recours aussi depuis 1948. Il va de soi que la référence biblique légitime l’existence de cet Etat, mais il est à noter que l’interprétation qu’on fait de la Torah en reste à son état strictement littéral et pragmatiste. Par ailleurs, le néo-sionisme religieux, après 1967, devient l’avant-garde du mouvement sioniste. Par conséquent, l’idéologie colonisatrice, qu’incarnent parfaitement Benjamin Netanyahou et ses ministres suprémacistes, dont Bezalel Smotrich et Itamar Ben Gvir, qui, ayant rejoint son gouvernement, militent pour un Etat religieux qui ne laisse aucune place aux Palestiniens. Ils les exterminent jusqu’au dernier ! Malheureusement, face à l’exagération des massacres, l’opinion publique semble se laisser influencer par la Hasbara, qui recourt au même argument, consistant à répondre avec toute force aux actes terroristes+++ du Hamas. Le nettoyage ethnique des Palestiniens est en cours ; il commence avec les massacres de 1948, il continue sans relâche avec la nakba (désastre) de 1967 et il se poursuit aujourd’hui par les massacres du 7 octobre. Il est à savoir que les actes du sionisme trouvent leur écho dans ce verset du Talmud : «Israël a reçu trois commandements (mitsvot) avant d’entrer dans le pays [Canaan] : établir un roi, tuer la descendance d’Amalek, construire le Temple» (ibid.). Trois mots expliquent leur idéologie : « La mitsva, le commandement d’établir un roi, a été réalisée par la création de l’Etat sioniste souverain ; la descendance d’Amalek, ce sont les Arabes qu’il s’agit d’exterminer ou de déporter ; enfin, la reconstruction du Temple est un fantasme revendiqué du sionisme religieux » (ibid.). On voit le danger ; il réside dans la manière dont les sionistes interprètent le texte religieux, qui le prennent au mot. Dans cette perspective, A. Santacreu nous renvoie à un des premiers kabbalistes espagnols, Abraham Aboulafia, qui écrivait dans Les sept voies de la Torah : « Prendre les paroles de la Torah dans leur sens littéral, exotérique (Pechat), et accomplir les commandements à la lettre est bon pour les esprits infantiles ; mais les intelligences subtiles découvrent la profondeur de la Torah ». Autrement dit, ils faussent la Torah. Du coup, ce qui est intéressant dans les arguments avancés par A. Santacreu, c’est qu’il démontre clairement en quoi l’interprétation à laquelle le sionisme adhère est contradictoire. D’abord, pour ce qui est d’établir un roi, c’est contraire à la volonté divine, comme il est dit en I Samuel, 8. Ensuite, commander de tuer la descendance d’Amalek est contradictoire avec le fameux cinquième commandement : « Tu ne tueras point ». Cela en est de même de la troisième mitsva, commandant de construire un temple, lequel contredit le dégoût exprimé par le Dieu d’Israël envers les sacrifices d’animaux (Ésaïe, 1,11). Pourtant, construire un troisième Temple reste la priorité du sionisme messianiste, ainsi que l’a théorisé le rabbin Zvi Yehuda Kook, le fils du Rav Kook, estimant que la création d’Israël en 1948 est la preuve que les temps messianiques se concrétisent réellement. Ainsi donc, même la question de l’Etat nécessite un éclaircissement, notamment dans le cas d’Israël. Dans l’histoire d’Israël, le peuple juif est la seule communauté qui n’a pas d’Etat pendant presque toute son existence, ainsi ce peuple aura-t-il la mission d’apporter le modèle ontologique et universel de l’anarchisme véritable. En quatre mille ans d’existence, rappelle A. Santacreu, le peuple juif s’est refusé à une telle aberration consistant à établir un Etat, car aucun juif ne doit régner sur d’autres juifs : « Lorsque le peuple hébreu réclame un roi, écrit A. Santacreu dans sa préface, Samuel le met en garde : aucun Juif ne doit régner sur d’autres Juifs (1Sm, 10-22) ; et, quand Jérémie exhorte son peuple à se rendre aux Chaldéens, le pouvoir politique et militaire l’accuse d’être un traître (Jr, 37-38) ». Il en est de même des sources anciennes, où le peuple juif est contraire à être autochtone, et décider d’exterminer les Palestiniens de leur terre signifie simplement que les Juifs se comporteraient comme colonisateurs. A y regarder de plus près, il s’avère net et précis que l’Etat d’Israël s’est formé contre le judaïsme. En ce sens, on n’a pas tort de dire que ce qui est visé avant tout, ce sont les Juifs eux-mêmes. Cela aide à comprendre que ceux qui s’opposent au sionisme de manière fervente soient des Juifs. Par exemple, en 1925, le groupe Brit Shalom (Alliance de la paix) s’est levé pour dire non à un sionisme révisionniste qui niait la question arabe. On citera parmi ses membres : le rabbin Judah Magnes, des philosophes Martin Buber, Gershom Scholem, Ernst Simon, ou encore l’historien Hans Kohn et l’agronome Haïm Kalvarisky. Ces derniers sont partants pour une issue binationale d’un sionisme culturel et socialiste qui aurait permis la coexistence entre les peuples juif et arabe. C’est la solution que propose aussi A. Benziane. Pour pallier cette annihilation, dont est responsable la Shoah, le sionisme culturel doit ressurgir sous forme de ce que A. Santacreu désigne par “un contre-sionisme”, conçu comme un humanisme. Cette échappatoire permet d’aller au-delà des deux facettes du sionisme contradictoire aussi bien que des deux types d’antisionismes contradictoires. Si le premier antisionisme repose sur la compassion d’Israël envers l’humanité, le second s’établit sur une forme d’antisémitisme que le sionisme nourrit. Le contresionisme proposé par A. Santacreu vient trouver sa place comme un dépassement de l’amalgame : « Parce que l’antisionisme amalgamé à l’antisémitisme appartient de jure à la novlangue qui se dit «démocratique», le dépassement du sionisme commence par la déconstruction de ce piège sémantique. C’est pourquoi je propose de remplacer le terme «antisionisme» par celui de «contre sionisme». Le contre sionisme n’est pas un antisionisme. Le contre sionisme n’est pas un sionisme contraire: il est le contraire du sionisme. La déconstruction du sionisme est la condition sine qua non de la paix » (préface). C’est donc un retour vers la Torah profonde que réclame A. Santacreu, vers le judaïsme véritable. Elle nous enseigne qu’en Israël, ce qui est souverain, ce n’est pas l’Etat, mais c’est l’Eternel. Défendre donc les Palestiniens, c’est défendre le contre sionisme et rejeter le sionisme. Défendre les Palestiniens, c’est se souscrire à l’essentiel du judaïsme : « Mieux vaut être parmi les persécutés que parmi les persécuteurs » (Talmud Baba Kama, 27). S’inscrivant dans cette sphère, le livre de A. Benziane développe à sa manière une réflexion autour des défis qu’il faut relever pour combattre par la pensée non seulement le sionisme, mais toute forme de fascisme. En effet, depuis cette maudite date du 7 octobre, des vies s’éteignent sans cesse, et cela continue jusqu’à nos jours, au point que nous découvrons avec la politique de Netanyahou qu’il n’y a plus de droit à respecter, que nous sommes à un moment de l’histoire où le plus faible n’a de salut, où nous avons l’impression qu’il n’ y a plus d’espoir. En ce qui nous regarde, nous avons ressenti en lisant cet ouvrage le même sentiment, raison pour laquelle nous le jugeons plus qu’utile, ne serait-ce que parce qu’il nous ouvre les yeux sur ce qui se passe de manière à en comprendre la gravité qui ne se limite pas au présent que nous vivons mais qui pourrait s’aggraver dans le futur si jamais on n’arrête pas le pouvoir sans merci installé en Israël. Par Najib Allioui (A suivre)
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