ministre des Finances, Laaziz Faid, a souligné mardi à Alger l’engagement de son secteur à améliorer la précision et la fiabilité des...
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Le ministre algérien des Finances, Laaziz Faid, a pris la parole à l'occasion d'une journée d'information organisée par l'Inspection générale des finances (IGF) sous le thème : « l'évaluation des politiques publiques à la lumière de la loi organique relative aux lois de finances ». Dans sa prise de parole, le membre du gouvernement de Nadir Larbaoui n'a pas manqué d'évoquer la question du marché parallèle, appelé communément marché noir. En effet, à l'occasion de cette journée d'information un peu particulière, Laaziz Faid a estimé que le secteur de l'informel représente une bonne partie de l'économie en Algérie, la Banque d'Algérie n'ayant pas cessé d'alerter sur les sommes colossales qui échappent au circuit bancaire. Le captage de l'argent circulant au marché noir devrait être un défi pour l'Algérie et ses dirigeants. Estimant que l'économie parallèle représente 40 % du PIB, le ministre des Finances dit considérer que le contrôle financier conventionnel exercé par la Cour des comptes, l'Inspection générale des finances et les contrôleurs de gestion devrait être adapté au contexte actuel de la gestion budgétaire. Intégrer l'économie parallèle dans le secteur formel Il s'agit, selon Laaziz Faid, d'intégrer l'économie parallèle dans le secteur formel. C'est le défi que se lance le gouvernement algérien pour l'avenir, selon le même intervenant, qui estime que si l'État arrive à réduire considérablement le champ d'action du marché parallèle, l'Algérie « sera capable de figurer, dans trois ans, parmi les pays émergents ». Pour cela, le contrôle de conformité aux lois ne doit pas rester la norme, mais devrait plutôt être intégré progressivement dans le cadre d'une approche plus large du contrôle stratégique dans le cadre de l'évaluation. Et cette même évaluation de la gestion des finances publiques repose sur la réalisation d'objectifs définis à l'avance et qui ont été fixés sur la base de critères précis et mesurables, estime le même responsable, qui ne manque pas de défendre l'idée d'un dialogue interactif qui associerait les partenaires et les acteurs. Un dialogue qui est « une condition fondamentale pour l’application des recommandations de l’évaluation et ses résultats ».
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