Voici une sélection, ce 10 janvier 2025, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France. ►...
Vous n'êtes pas connecté
La croissance économique du Mali devrait s'accélérer à 5,3% en 2025, tirée notamment par le secteur minier. Cependant, l'année 2025 s'annonce également avec de nombreux défis, notamment celui de l'accès à l'énergie. Si le démarrage de la production de lithium présente de nouvelles opportunités en matière d'énergies renouvelables, le modèle d'exploitation doit évoluer pour permettre de soutenir d'autres secteurs de l'économie. La relance de l'économie reste en outre confrontée aux conséquences des chocs climatiques et à l'insécurité. Le lancement des activités de la mine de lithium de Goulamina, le 15 décembre 2024, devrait contribuer à booster la transition énergétique grâce à la fourniture d'équipements utilisés dans l'énergie solaire, espèrent les autorités. Cependant, pour offrir de nouvelles perspectives dans le secteur des énergies renouvelables, cette opportunité doit, au-delà de l'extraction, permettre au Mali de bénéficier à d'autres niveaux de cette chaîne de valeur. « À défaut d'avoir des usines de transformation sur place, on peut négocier des conditions d'accès plus faciles au produit », explique Abdrahamane Tamboura, économiste. Avec 51% de parts accordées aux entreprises maliennes, les contrats de sous-traitance devraient générer environ 250 milliards de francs CFA. De plus, la mine de Goulamina contribuera au développement local avec un investissement compris entre 20 et 25 milliards. Le domaine des technologies à base de lithium est en expansion, mais les compétences locales pour répondre à ces besoins sont insuffisantes. Il est donc essentiel de développer ces talents. Changer de schéma À terme, il s'agit de changer le modèle d'exploitation de nos matières premières, actuellement basé sur l'exportation de produits bruts. Le chantier de la transformation économique doit être envisagé sur le long terme, sous peine de ne pas obtenir les résultats escomptés. Le contexte devrait permettre une réflexion approfondie, estime M. Tamboura. Le développement que l'on envisage nécessite de sortir de l'urgence et de trouver un juste milieu entre la satisfaction des besoins pressants et l'exploitation judicieuse des potentialités. En octobre 2024, le Gouvernement a interdit l'exportation de certains produits, dont l'arachide, la noix de karité et le sésame. Cette mesure vise à booster l'industrie locale, mais elle est redoutée par les producteurs, qui craignent une baisse de revenus, l'industrie locale ne transformant qu'une partie infime de la production. Pour renforcer cette capacité, il est crucial de fournir le secteur agricole en énergie, estime M. Tamboura. Cela peut se faire à travers le développement du sous-secteur de la bioénergie, par exemple. Le secteur agricole, qui est un bon pourvoyeur de matières premières pour le sous-secteur des bioénergies, a également besoin d'énergie pour son propre développement. Un développement basé sur la valorisation des produits agricoles. Ce modèle, qui combine production et transformation, peut conduire à intensifier la production et à la valoriser.
Voici une sélection, ce 10 janvier 2025, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France. ►...
Voici une sélection, ce 10 janvier 2025, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France. ►...
Comparée aux autres secteurs d’activité, notamment l’agriculture et les services, l’industrie est généralement perçue comme étant...
Hier, un atelier de travail consacré au développement de la filière lithium en Algérie a été ouvert à Alger par le ministre d’État, ministre...
Les parties prenantes de l'ESS et plus particulièrement les structures de l'accompagnement à l'entrepreneuriat, sont perplexes quant à l'avenir du...
La commune de Lagouira et celle de Bignona au Sénégal ont convenu de renforcer leurs capacités institutionnelles et techniques aux termes...
Voici une sélection, ce 6 janvier 2025, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France. ►...
Il s’agit du Groupe La Paix Plus ; NT Foods SARL ; LAMANA SARL ; FRUITSCAM SARL ; Bonne Chair SARL et PROXIMA Agro Foods. Sous la présidence du...
Le Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 08 janvier 2025, la réunion hebdomadaire...
Comme de tradition, le chef de l’Etat camerounais, Paul Biya, s’est adressé à ses compatriotes à l’occasion de la fin d’année 2024 et du...