LinkedIn et Meta exploitent sans transparence les données de leurs utilisateurs pour entraîner leurs systèmes d'intelligence artificielle.
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Derrière les programmes d’intelligence artificielle, il y a tout un travail de collecte, de vérification et d’annotation des données effectué par des « petites mains ». Une activité essentielle en grande partie externalisée dans les pays en développement, notamment à Madagascar, expliquent deux jeunes sociologues, Maxime Cornet et Clément Le Ludec, dans un entretien au « Monde ».
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