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Maroc Maroc - LECENTRISME.COM - A la Une - 14/Sep 19:07

Propos centristes. France – Participation au gouvernement / L’industrie aura besoin d’un million d’emploi dans le dix ans / Contre la suppression de l’aide médicale d’Etat / La destinée de l’Ukraine est européenne…

Voici une sélection, ce 14 septembre 2024, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France.  ► Emmanuel Macron (Président de la République) > [Discours à l'occasion des 80 ans de la libération du Havre] C'est à vous que je devrais laisser la parole, au fond, à vous, à cette dame du Parc, Monsieur le maire, porteuse anonyme de mémoire, à toute cette génération qui a vécu la Libération de septembre 1944. Et c'est en votre hommage que je voudrais, en ce jour, ici m'exprimer. Vous qui portez très profondément, au creux de vous-mêmes, une ville de souvenirs, derrière Le Havre moderne, dans le geste triomphant d'Auguste Perret et des architectes qui l'accompagnaient, se dessine un Havre ancien qui n'existe plus qu'en vous. Ports normands, ruelles pavées enserrés de fortifications de pierre où vous aviez grandi, étudié ; d'un côté, le cadre de votre enfance, de l'autre, celui de votre maturité. Entre ces deux villes, entre ces deux âges, une déchirure que 8 décennies n'ont jamais totalement apaisée. Entre ces deux villes, entre ces deux âges, le Havre de l'Occupation, sans cloche, sans drapeau, sous la chape de fer allemande, devenue, à son corps défendant, nœud stratégique des armées ennemies, citadelle du mur de l'Atlantique, hérissée de mitrailleuses, de canons, de mines. Et à l'heure où Brest, Lorient, Saint-Nazaire, Calais étaient encore occupés, où l'armée américaine avait atteint les faubourgs de Metz, où les hommes de Leclerc et ceux de De Lattre venaient d'opérer leur fusion, il fallait aux Alliés un grand port en eau profonde, suffisamment protégé de la ligne de front du Rhin pour assurer le ravitaillement de leurs armées en essence et en munitions. Il leur fallait Le Havre et Le Havre libre, débarrassé de l'étau nazi. « La forme d'une ville, hélas, change plus vite que le cœur d'un mortel » écrivait Baudelaire, sans doute quelque part entre Paris et Honfleur. Alors depuis 8 décennies, tout a changé autour de vous. Mais au fond de vous résonnent toujours les échos terribles de ce mois de septembre 1944. Je sais que nombre d'entre vous voient toujours le ciel se couvrir de croix noires. La nuée de bombardiers Lancaster lançait sa pluie de bombes, précédée de fusées de balisage rouge. Je sais que vous êtes toujours saisis, certaines nuits, par la vision de ces flammes de 200 mètres de haut, la mer qui paraît en feu, le métal qui fond sous le goudron, la fumée qui rentre jusque dans les entrailles de la ville. Je sais que tant d'entre vous n’oublieraient jamais le fracas de cette semaine terrible, de ce 5 septembre à 17h30 où, au-dessus du centre-ville, le bombardement se fut déluge de feu. Les 40 000 Havrais qui n'avaient pas encore quitté leur ville, descendirent dans les caves, les souterrains, les abris pour se protéger comme ils le pouvaient. Hommes, femmes, enfants, dans la promiscuité et l'angoisse. Et cette mère qui chante pour endormir l'enfant qu'elle allaite, mécaniquement, les yeux hagards, berceuse de paix scandée par la pulsation des bombes et ces milliers de bombes explosives et incendiaires larguées en l'espace de 2 heures. Quand les survivants sont ressortis des caves, ils se sont trouvés debout dans une ville qui gisait. Ils ont cru que la nuit n'était pas finie, que leurs hallucinations d'angoisses continuaient, que c'était encore leur cauchemar qui se prolongeait. Ils ont erré, hébétés, dans une ville qui avait perdu en quelques heures sa substance. Une ville qui avait la couleur et l'aspect de la cendre, broyée, pulvérisée. Un magma de matière qui rappelait Coventry ou le Londres de 1940. Cataclysme de l'histoire où se sont joués le déchaînement des éléments, la colère et le désespoir des hommes. L'Hôtel de ville avait disparu et l'église Saint-Michel et l'église Saint-Joseph et le Grand Théâtre, les hôtels, les musées. Sous les ruines du théâtre gisaient des FFI qui s'y étaient cachés en attendant l'heure d'agir au grand jour, gisaient aussi plus de 2 000 civils, des femmes, des hommes, des enfants, des vieillards. Et la façade aveugle de l'église Notre-Dame, les rosaces crevées, ravagées, contemplaient la mer par-dessus un champ de ruines. Mais les bombardements continuèrent. Le lendemain, le surlendemain, les jours suivants encore sans fin. Le 10 septembre, les troupes alliées donnèrent l'assaut à la ville. Ils furent alors rejoints par les FFI français qui prenaient les armes avec eux, guidaient les troupes, attaquaient les véhicules nazis français de tous âges et de toutes conditions. Le groupe Morpain, le groupe Hervé Lagache, devenu L'heure H, derrière Jean-Thomas, le groupe France avant tout et tant d'autres, traqués, dénoncés, arrêtés, déportés. Depuis 4 ans au milieu de la collaboration, du pétainisme, de l'indifférence coupable qui fit le jeu de la barbarie nazie qui laissa déporter plus de 100 Havrais pour la simple raison qu'ils étaient nés juifs, résistants, traqués, dénoncés, déportés et pourtant toujours présents, inlassables, car toujours, une nouvelle génération se lève pour relever le flambeau des disparus. Les benjamins de la Résistance havraise, le groupe Vagabond bien aimé, portaient fièrement sur leur brassard à Croix de Lorraine cette devise qu'ils reprenaient de Guynemer : « On n’a rien donné tant qu'on n'a pas tout donné ». Ils donnèrent tout, en effet, jusqu'à leur vie. Ceux qui fondèrent ce groupe n'étaient encore qu'adolescents. Jean Maltrud, Louis Pellerin, Jean Langlois rêvaient de gagner l'Angleterre, mais c'est au plus près de leur quotidien qu'ils trouvèrent à servir le pays. Ils imprimèrent des tracts par milliers, fondèrent un journal résistant, le Patriote, organisèrent des sabotages d'usines, coupèrent les lignes téléphoniques de la Kommandantur. À la poste du Havre, les trois frères Lehaut interceptaient les lettres de dénonciation adressées aux nazis, repérant les adresses à l'écriture malhabile, contrefaite. Des dessinateurs prenaient les relevés des fortifications ennemies, des mères de famille cachaient des parachutistes. Toute une vie souterraine qui se dressa au grand jour et qui fut l'honneur de votre ville. Quand les nazis abandonnèrent le terrain le 12 septembre, après avoir fait sauter les quais, la ville n'était plus qu'une vision d'apocalypse mais libre, enfin. Ici, la Libération ne fut pas cette liesse que connut Paris. L'entrée des troupes anglo-canadiennes fut teintée de gravité. Il y avait, entre eux et vous, ce pourquoi lancinant, sans réponse. La sidération de cette escalade tragique qui avait mis aux prises deux puissances militaires dans un huis-clos de remparts et de mers, et dont les historiens n'ont pas fini de sonder l'engrenage vertigineux. Il y avait, entre les Havrais et les libérateurs, mêlée à la gratitude, cette souffrance infinie d'une ville sacrifiée pour libérer son pays. Après Dieppe, après Saint-Lô, après Caen et Rouen, et tant d'autres villes normandes, le Havre rejoignait la litanie des martyrs de la guerre. Alors, en ce jour, à vos côtés, je m'incline avec émotion devant cette souffrance, comme je m'incline devant le courage, la force de ceux, ici, qui ont résisté, et devant le courage et la force de ceux qui, ensuite, ont reconstruit. Le Havre, capitale des ruines ; Le Havre, capitale de la reconstruction, exemple pour un pays tout entier, car dès le lendemain, les habitants, pourtant affaiblis par les privations, les pénuries, se mettent debout. En un an, les gravats sont déblayés, les transports reconstruits. En 5 ans, Le Havre a retrouvé son tonnage d'avant-guerre, réparé ses quais, ses dragues, ses hangars et son outillage. En 20 ans, la ville nouvelle est sortie de terre. Miracle français d'énergie et de travail qui fait d'un port en ruine, avec 80 000 sans-abris, un fleuron du patrimoine mondial de l'humanité. Et au milieu de cette ville du 20e siècle, inspirée par l'antique, hymne à la raison cartésienne et à l'essor industriel, aux rues larges, aux arêtes nettes, Auguste Perret redresse vers le ciel le clocher de l'église Saint-Joseph comme un phare du souvenir. Car oui, la forme d'une ville change, mais la mémoire, toujours, demeure. Les maires se sont succédé, animés d'un même dévouement passionné pour les Havrais. Émile Sicre, Pierre Voisin, Pierre Courant, Eugène Gas, Léopold Abadie, René Cance, Robert Monguillon, André Duroméa, Daniel Colliard, Antoine Rufenacht, Luc Lemonnier, Jean- Baptiste Gastinne et vous, vous-même, Monsieur le maire, cher Édouard Philippe. Et de même que toutes les forces politiques s'étaient unies dans la résistance havraise comme partout ailleurs, toutes les forces politiques ont œuvré à cette renaissance. Grâce à eux, grâce à vous, grâce à chaque habitant, Le Havre est devenu une métaphore vive. Parabole du renouveau, du regain et de la continuité. Ville réinventée, la mer réconciliée avec la pierre sous ce ciel de Normandie. Car au fond, il n'y a pas deux villes du Havre, l'ancienne et la moderne, avant et après la Guerre, il n'y en a qu'une. Cette ville qui fut autrefois délivrée des Anglais au terme de la guerre de Cent Ans et cette même ville qui fut délivrée par les Anglais à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Cette ville, fortifiée sous l'Ancien régime, reconstruite ensuite puis transformée. Et cette place où nous sommes, qui fut jadis la place Louis XVI, qui prit un temps le nom de place Gambetta et qui s'appelle aujourd'hui place du Général de Gaulle. Le Havre est là, la France est là. Dans cette chaîne des temps, la France qui a vibré au Sacre de Reims, à la fête de la Fédération, à la ferveur de la Libération. La France qui sait se réunir dans le danger, dans l'ombre de la Résistance ou au grand jour des batailles, qui sait s'unir encore pour reconstruire ensemble, rassemblée dans les larmes comme dans la gloire, rassemblée dans la reconnaissance, aussi, du martyre ici subi. Et ce que nous dit votre ville, c'est que Le Havre reste Le Havre. Qu'il soit bâti en colombages ou en béton, s'il sait rassembler ses habitants, rester fidèle aux promesses de ses bâtisseurs, ancré dans son siècle, tourné vers le grand large et vers le monde. C'est que la France reste la France si elle n'oublie pas d'où elle vient et si elle trouve chaque jour en chacun de ses habitants la force de se détourner du pire, de vouloir, de dessiner et de bâtir. Telle est la leçon du Havre au nom de ce que chaque cœur français recèle d'immortel. Soyez-en remerciés. Vive Le Havre ! Vive la République ! Vive la France !   ► Assemblée nationale  Yaël Braun-Pivet (présidente)  > À Sommecaise, j’ai rencontré Karine, qui tient un café grâce à l’association 1000 Cafés. Ici, on ne sert pas juste des boissons, on crée du lien, on rassemble et on redonne vie au village. Merci à Karine et à 1000 Cafés de faire vivre nos campagnes! > Rendre les soins accessibles partout, c’est plus qu’un objectif, c’est un engagement ! Depuis 2017 avec l’aide des élus locaux, les Maisons de santé ont doublé, y compris ici dans l'Yonne. Parce que la santé, c’est un droit pour tous, et nous sommes là pour le garantir ! > Les services publics doivent être à la portée de tous. Grâce aux Bus France Services, comme ici dans l'Yonne, c'est l’État qui se déplace et facilite l'accès aux droits.   ► Partis politiques  ● Renaissance  [Nota: dans ce parti, les propos de ses membres qui ne sont pas centristes et se considèrent à droite ou à gauche ne sont plus retranscrits] Gabriel Attal (député, président du groupe Ensemble pour la république à l’Assemblée nationale) > À Kiev, au forum Yalta European Strategy, je réaffirme tout le soutien de la France à l’Ukraine, victime de la guerre menée par la Russie de Vladimir Poutine. À travers l’Ukraine, c’est aussi un modèle de société fondé sur la liberté et la démocratie que nous défendons. Au Parlement, je me battrai pour que la France continue d'apporter le soutien militaire et financier dont le pays a besoin pour résister et se reconstruire. Le destin de l’Ukraine est en Europe. > Réunions de travail à Kyiv avec le président du Parlement Ruslan ,Stefanchuk et le Premier ministre ukrainien Denys Shmyhal. Livraison d’équipements militaires, formation de leurs soldats, appui logistique, aide à la reconstruction. Nous sommes et nous resterons au côté des Ukrainiens dans le combat qu’ils mènent pour leur souveraineté et leur liberté.   Roland Lescure (député) > Le budget est le reflet de la ligne politique. Je sais les réticences à droite face aux éoliennes. Mais pour la transition écologique, il faut du nucléaire et des énergies renouvelables. Je serai extrêmement vigilant à ce que la France continue à investir dans les ENR. > Dans l'industrie, on va avoir besoin d'un million d'emplois dans les 10 ans qui viennent, il y en a une partie qui viendra de l'étranger, il faut qu'on les intègre.   Agnès Pannier-Runacher (députée) > Taxer plus EDF, entreprise 100% publique, qui produit une énergie à 90% décarbonée, est absurde. Quel intérêt pour le climat ? Pourquoi taxer le nucléaire ? Les Français ont-ils envie de payer leur électricité plus chère ? > Je veux que mon pays réussisse et que le gouvernement soit stable. Mais quel est le projet de Michel Barnier? Est-ce que les Français s’y retrouvent largement ? J’attends de connaître ses priorités pour répondre. > Je suis contre la suppression de l'Aide médicale d’Etat proposée par certains élus de droite. La supprimer, ce serait inutile pour lutter contre l’immigration illégale et dangereux pour l’hôpital et la santé des Français.   Sylvain Maillard (député)  > [Suppression de l'Aide médicale d’Etat] C'est une ligne rouge chez nous. > Oui, nous rentrerons probablement au gouvernement. Les discussions continuent avec Michel Barnier mais l'idée est d'accompagner ce gouvernement. > ll faut que nous continuions à réformer pour permettre à la France d’avancer. Soyons capables de continuer à être à la pointe de l’innovation, de la productivité, nous en avons les capacités. Et le monde ne nous attend pas.   Pierre Cazeneuve (député) > J'entends la frustration des électeurs de gauche, mais qu'ils tournent leur colère vers le PS. C'est Olivier Faure qui a empêché la nomination de Bernard Cazeneuve, et qui aujourd'hui encore refuse de s'asseoir à la table des négociations. Il préfère Mélenchon à la France. > Une grand majorité des Français veulent de la stabilité et que les forces politiques républicaines travaillent avec Michel Barnier pour trouver des compromis. C'est cette logique constructive qui nous guide avec Ensemble pour la république, tout en rappelant nos exigences et nos priorités.   Prisca Thevenot (députée) > Ma place est à l’Assemblée nationale, auprès de Gabriel Attal. Être ministre n’est pas un métier, c’est une mission. La mienne est aujourd’hui terminée et j’entends me consacrer pleinement à celle que m’ont confiée les électeurs de ma circonscription. > Abroger la réforme des retraites ? Que dit-on aux 850 000 retraités qui vont voir début octobre leur pension revalorisée grâce à cette réforme ? > Supprimer l’AME ? C’est écrit dans le rapport Stefanini / Evin : ça ne permet pas de lutter contre l’immigration irrégulière. > Nous voulons voir le Premier ministre réussir pour le pays. Et pour cela avec Gabriel Attal, pour le groupe parlementaire, et Stéphane Séjourné pour le mouvement, nous sommes attachés à une méthode : avant le « qui », travaillons le « quoi ».   Marina Ferrari (députée) > Le déficit chronique des retraites est financé par la dette. Nous ne voulons pas léguer une dette colossale aux générations futures. Ce n'est pas aux contribuables de financer les déficits, le système doit trouver son équilibre.   ● Parti radical  > [Santé périnatale en France : il y a urgence à agir !] Un rapport sénatorial sur la santé périnatale publié mercredi 11 septembre, à l’initiative du groupe RDSE du Sénat, alerte sur la dégradation des indicateurs de santé des mères et nourrissons, avec une mortalité infantile en France supérieure à la moyenne européenne, et les « fragilités préoccupantes » du réseau des maternités. Pour Véronique Guillotin, sénatrice radicale de Meurthe-et-Moselle, rapporteure de cette mission d’information, «il faut mettre en place une véritable stratégie nationale de santé périnatale fondée sur un diagnostic par bassin de naissance, et permettant un accouchement en sécurité ainsi qu’un suivi pré et post natal renforcé en proximité, au plus près des femmes et des familles ». Parmi les propositions du rapport : – Créer un registre national des naissances et de la mortalité néonatale et rapprocher les bases de données pour un meilleur pilotage ; – Etablir un « diagnostic territorial autour des « bassins de naissance », en sortant du dogme du « seuil » du nombre de naissances ; – Mieux informer et accompagner les jeunes parents sur les prises en charge pendant la grossesse et les premiers mois de vie des nouveaux nés ; – Renforcer l’attractivité des métiers pour garantir les effectifs des professionnels et renforcer les ratios d’encadrement dans les maternités. Autre sujet majeur pour les radicaux, la question de la santé mentale des parents, dont il faut mieux repérer les vulnérabilités grâce une formation renforcée des professionnels de santé. Le Parti radical appelle le prochain Gouvernement à prendre en considération les propositions du rapport, indispensables pour développer une offre de soins périnatals de qualité, sécuriser la santé des mères et nouveau-nés et permettre une équité sociale et territoriale.   ► Autres  ● Organisations centristes  ♦ Renew Europe (Députés français du groupe centriste au Parlement européen)  Valérie Hayer (députée ,présidente) > Le Parlement est le cœur battant de la démocratie. C’est pourquoi nos échanges avec le Président de la Rada avec Gabriel Attal, sont si cruciaux. Cher Ruslan Stefanchuk, quelle fierté de vous compter dans notre famille Renew Europe! > Rencontre très utile avec le Premier ministre Denys Shmyhal pour évoquer les besoins de l’Ukraine et les réformes en cours. La France et l’Europe sont des alliées stratégiques pour la marche vers la victoire et le retour de la paix. La destinée de l’Ukraine est européenne.   Bernard Guetta (député) > Non seulement la censure que la gauche française entend opposer d’emblée à Michel Barnier ne le fera pas tomber mais la gauche achèvera, ce faisant, de faire de l’extrême-droite un acteur à part entière de la vie politique. Autrement plus habiles que la gauche, les lepénistes du Rassemblement national ont, en effet, préféré «juger sur pièces». Ils vont attendre de voir, expliquent-ils, si les politiques menées par le futur gouvernement Barnier répondent à leurs «exigences». Ils vont le mettre, disent-ils, «sous surveillance» et devenir de cette manière incontournables. > Madame Kamala Harris, votre première tâche en tant que Présidente sera de réaffirmer l'alliance entre les États-Unis et l'Union européenne. Pour négocier un nouvel équilibre entre les États-Unis et la Chine, vous aurez besoin de nous. Pour résister à Poutine, nous aurons besoin de vous. > Un banquier central qui appelle les États à s'endetter, ce n'est pas banal. Pourquoi Mario Draghi fait-il cela ? Car nous sommes en retard par rapport à la Chine et aux États-Unis. Si nous voulons y remédier, nous devons oser investir dans notre avenir.   Grégory Allione (député) > Avec le groupe Renew Europe nous dressons une batterie de mesures solides pour la liberté, la prospérité et la sécurité des européens. Un arsenal d'engagements qui devra être porté par notre collège des commissaires issu des 27 pays de l’UE sous la présidence d’Ursula von der Leyen. Un collège qui garantira, durant les 100 premiers jours suite à son installation, le déploiement de capacités pour que notre Europe demeure compétitive sur le plan économique, sécuritaire et social.    

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