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CHRONIQUE. Selon les chiffres fraîchement dévoilés par l’OFS, la qualité de l’emploi en Suisse est loin d’être mauvaise. D’où vient alors la désaffection des employés envers le travail, se demande notre chroniqueuse Marie-Hélène Miauton…Il est de bon ton d’accuser les patrons d’être des exploiteurs dans l’âme et le monde du travail de devenir une jungle. Les médias ne cessent de mettre le doigt sur la difficulté de concilier vie professionnelle et familiale, sur la violence des relations hiérarchiques, sur le stress dû à des exigences surhumaines, tout cela expliquant la désaffection des employés et une perte collective du sens du travail. J’exagère à peine! Bien sûr, des cas existent qui corroborent ces dérives et elles doivent être traquées et corrigées, mais il faut se garder de généraliser, au risque de travestir la réalité. Cette réalité, l’Office fédéral de la statistique nous la présente en diffusant ce 28 janvier une sélection d’indicateurs clés sur la qualité de l’emploi en Suisse.Tous les chiffres sont passionnants, et surtout les relations entre eux. Ainsi, on apprend que les personnes actives à plein temps travaillent 40,2 heures par semaine en 2023, soit 1,14 heure de moins que dix ans auparavant. A noter que les femmes en fournissent 38,7 et les hommes 40,9. En parallèle, la moitié des actifs se disent soumis à de fortes pressions (cadences élevées, délais très stricts ou très courts). Normal puisqu’ils doivent assurer les mêmes tâches en moins de temps, ce qu’ils appellent de leurs vœux! Les salaires ont-ils baissé simultanément aux heures travaillées? Non, dès lors que le salaire mensuel brut médian est passé de 6439 à 6788 francs. Cette hausse est plus importante chez les jeunes et chez les femmes (10%) que chez les hommes. Ainsi, les rémunérations inférieures, faute d’expérience ou de qualifications, ont été réévaluées en Suisse, atténuant les différences au lieu de les creuser comme on le prétend souvent à tort. C’est une bonne nouvelle.Voir plus
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