Le Parti de la liberté (FPÖ) d'extrême droite autrichien, le Fidesz du Premier ministre hongrois Viktor Orban et le parti populiste tchèque ANO...
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Cette nouvelle alliance comprendrait l’extrême droite autrichienne et le mouvement centriste de l’ancien premier ministre tchèque Andrej Babis. Elle vise à combattre, notamment, le soutien militaire à l’Ukraine et «l’immigration illégale»Le premier ministre hongrois Viktor Orban a annoncé dimanche son intention de former un nouveau groupe parlementaire européen, avec le parti d’extrême droite autrichien et le mouvement centriste de l’ancien premier ministre tchèque Andrej Babis. «Nous prenons l’initiative de lancer cette nouvelle plateforme», a déclaré Viktor Orban lors d’une déclaration conjointe à Vienne aux côtés d’Andrej Babis et de l’Autrichien Herbert Kickl, chef du mouvement FPÖ. Lire aussi: Viktor Orban et l’Europe, cette drôle de fable Cette annonce intervient alors que la Hongrie prend lundi la présidence tournante de l’UE, après des mois de blocages et de tensions avec la Commisssion et ses partenaires. La nouvelle alliance, nommée «Patriotes pour l’Europe» et consacrée par «un manifeste», a besoin du soutien des partis de quatre autres pays afin d’être reconnue comme un groupe à part entière au Parlement européen. ### Contre «l’immigration illégale» et pour «la famille traditionnelle» Viktor Orban, dont le parti Fidesz se retrouve parmi les non-inscrits depuis qu’il a quitté en 2021 le Parti populaire européen (PPE, droite), espère ainsi faire entendre une vision différente, contre le soutien militaire de l’Ukraine, contre «l’immigration illégale» et pour «la famille traditionnelle». «Une nouvelle ère commence», a-t-il proclamé, promettant que cette faction, si elle voit le jour, «changera la politique européenne». «Une ère de liberté, souveraineté, paix, prospérité et valeurs», a complété Herbert Kickl qui, après la première place de son parti au scrutin européen du 9 juin, espère désormais ravir la chancellerie autrichienne lors des législatives prévues fin septembre. «Aujourd’hui est un jour historique», a-t-il lancé. Son parti faisait jusqu’à présent partie du groupe Identité et démocratie (ID), où se trouvent les députés du Rassemblement national (RN) français, tandis que le parti Ano d’Andrej Babis a décidé de quitter Renew Europe, qui inclut les libéraux et centristes, dont le parti Renaissance du président français Emmanuel Macron. Le Fidesz dispose de 11 députés avec ses alliés du parti démocrate-chrétien KDNP, Ano de sept et le FPÖ de six membres. Lire encore: Les dirigeants des Vingt-Sept proposent un trio von der Leyen, Kallas et Costa pour les postes clés de l’Union européenne
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