Quand j’ai appris que les femmes d’Afghanistan ne pourraient plus chanter ou lire à voix haute en public, j’ai eu l’impression d’étouffer...
Vous n'êtes pas connecté
Le ministère afghan de la Justice a édicté une nouvelle loi qui muselle encore un peu plus les femmes. Désormais, les Afghanes ne doivent plus faire entendre leurs voix en public. Elles ne peuvent donc plus chanter, réciter une poésie ou même lire à voix haute si elles ne sont pas confinées dans un espace fermé. Trois ans après le retour au pouvoir du groupe taliban, elles ne sont plus que des ombres dans la société afghane. Cet apartheid de genre est condamné par des organisations comme Amnesty International mais n’existe pas encore en droit international.
Quand j’ai appris que les femmes d’Afghanistan ne pourraient plus chanter ou lire à voix haute en public, j’ai eu l’impression d’étouffer...
Première femme à avoir participé à l’« Afghan Star », l’artiste, aujourd’hui exilée aux Pays-Bas, revient sur l’interdiction faite...
Ils sont de plus en plus nombreux à réciter des poèmes sur les réseaux sociaux. Entre 2018 et 2024, le marché de la poésie est passé de 10 à...
Tandis qu’à l’intérieur, de nouvelles lois interdisent aux femmes de parler dans l’espace public, à l’extérieur, celles qui dénoncent, à...
On savait les femmes afghanes menacées dans leurs droits par l’avènement des Taliban. Trois ans après leur retour au pouvoir à Kaboul, force est...
L'association organise le 14 septembre un rassemblement devant l'Opéra Bastille à Paris en soutien aux femmes afghanes.
L'association organise le 14 septembre un rassemblement devant l'Opéra Bastille à Paris en soutien aux femmes afghanes.
Le 21 août dernier, les talibans promulguaient une nouvelle loi à l’encontre des femmes afghanes. Face à cette privation supplémentaire de...
Le 21 août dernier, les talibans promulguaient une nouvelle loi à l’encontre des femmes afghanes. Face à cette privation supplémentaire de...
Le 21 août dernier, les talibans promulguaient une nouvelle loi à l’encontre des femmes afghanes. Face à cette privation supplémentaire de...