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La centriste valaisanne, que l’on disait sur le départ, a annoncé sa démission du Conseil fédéral ce mercredi, à l’issue de la première séance de l’année du gouvernement. Elle était en poste depuis 2019Viola Amherd a annoncé ce mercredi sa démission du Conseil fédéral, à l’issue de la première séance de l’année du gouvernement. La centriste Valaisanne de 62 ans avait été élue en décembre 2018, en même temps que la PLR Karin Keller-Sutter. Elle avait pris la tête du Département fédéral de la défense de la protection de la population et des sports (DDPS) en janvier 2019, ce qui en avait fait la toute première femme à diriger l’armée.Mais elle ne sera restée que six ans au gouvernement. A la question de son éventuelle lassitude de la fonction, la réponse est aujourd'hui convenue: «Je veux partir quand je suis encore en forme.»Notre suivi en continu: En direct – Démission de Viola Amherd: le PLR n'attaquera pas le poste du Centre Présidente de la Confédération l’an dernier, en 2024, la Haut-Valaisanne n’a jamais été épargnée par les critiques. Ces derniers mois, elle a connu plusieurs soucis au sein de son Département fédéral de la défense, allant de turbulences à la tête de l’entreprise d’armement RUAG au fameux «trou dans la caisse» de l’armée. Cet épisode avait par ailleurs trahi un important déficit de communication entre le chef de l'armée Thomas Süssli et sa cheffe du département.Ces derniers temps, Viola Amherd était la cible de critiques de plus en plus nourries. L’ancien conseiller national UDC et rédacteur en chef de la Weltwoche Roger Köppel l’a qualifiée de «pire conseillère fédérale que nous ayons jamais eue après Eveline Widmer-Schlumpf», évoquant surtout ses velléités européennes. Lire aussi: Sang neuf au Conseil fédéral: les spéculations repartent de plus belle Le 20 décembre 2024, comme ultime acte de sa présidence, Viola Amherd avait reçu à Berne la présidente de la commission européenne Ursula von der Leyen, pour acter la fin des négociations entre la Suisse et Bruxelles. Ce week-end encore, l’UDC a demandé sa démission, pointant sa gestion de l’armée.Avant d’accéder au Conseil fédéral, Viola Amherd avait été présidente de Brigue-Glis, dans le Haut-Valais, puis conseillère nationale dès 2005, quand elle avait remplacé Jean-Michel Cina. En images: En images – Viola Amherd, le sourire sous les rafales de critiquesLire aussi: Gerhard Pfister, l’homme qui a placé son parti au centre Développement suit
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