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Avec l’infrastructure actuelle, l’exploitation de lignes internationales, notamment en Allemagne, n’est guère possible, explique la présidente des CFF Monika Ribar dans un entretien à la «NZZ»Coopérer avec les compagnies ferroviaires des pays voisins est plus avantageux que d’exploiter une ligne à l’étranger. C’est du moins ce qu’assure la présidente des CFF, Monika Ribar, dans un entretien publié lundi dans la Neue Zürcher Zeitung. Il est ainsi possible de transporter plus de passagers et proposer plus de liaisons directes vers les pays européens. La mise en place d’une structure à l’étranger pour quelques trains par jour est en outre coûteuse. «Si nous exploitons nous-mêmes une ligne à fort potentiel, nos partenaires nous diront sans doute que nous pouvons aussi le faire nous-mêmes dans d’autres cas». Pour les Chemins de fer fédéraux (CFF), le risque entrepreneurial est trop élevé, ajoute-t-elle.Il est par ailleurs exclu que les CFF exploitent leurs propres liaisons en Allemagne avec l’infrastructure allemande actuelle, note la présidente du conseil d’administration. Une exploitation «raisonnable» des grandes lignes y serait difficile, poursuit-elle.Lire aussi: Les CFF lancent un appel d'offre pour 116 nouveaux trains destinés au RER Zurichois et à la Suisse romande ### Peu de marge de manœuvre L’infrastructure est également un problème sur la ligne ferroviaire entre Genève et Lyon, en France. La troisième ville française a, certes, du potentiel et le train serait une bonne alternative à la route, mais, en plus des défis tels que l’approvisionnement en électricité, il existe déjà des trains subventionnés, remarque Monika Ribar. En ce qui concerne une liaison avec Londres, les CFF seraient heureux d’en proposer une, mais les chances de succès sont discutables à cause de la concurrence des compagnies aériennes à bas coût, déclare-t-elle. Les CFF devraient en outre créer des entreprises et engager du personnel au Royaume-Uni et en France. De plus, les trains autorisés pour le tunnel sous la Manche ne pourraient pas être utilisés ailleurs, poursuit-elle. Les CFF évoluent dans un corset étroit, indique Monika Ribar. «Là où nous avons une marge de manœuvre entrepreneuriale, nous l’utilisons de manière conséquente». Lire aussi: Les pertes sont lourdes après l’accident du Gothard, où le retour à la normale est prévu pour début septembre
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