Yvette Horlint qui a été directrice du théâtre de La Louvière a rendu son dernier souffle. Celle qui a rencontré nombre de célébrités était...
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Isolde de la prochaine production du Grand Théâtre, la soprano suédoise a adopté la ville allemande où elle a beaucoup chanté, et où l’héritage musical est partout présent : Bach, Mendelssohn, Wagner, sans compter un orchestre de légende… L’Opéra de Leipzig domine l’Augustusplatz. Elisabet Strid y a chanté la plupart de ses premiers grand rôles wagnériens, dont celui de Freia en 2013. Ce qui l’a décidée à s’établir dans la ville. — © Felix Adler pour le Grand Théâtre Magazine L’été frappe encore fort à Leipzig, les touristes défilent dans la Thomaskirche pour laquelle Jean-Sébastien Bach a travaillé les vingt-sept dernières années de sa vie. Et les parcs sont tranquilles. C’est à côté de l’un d’eux, le Johannapark, qu’Elisabet Strid nous embarque à la découverte de sa ville.Sa ville, oui et non. La soprano suédoise est restée fidèle à son pays natal et possède une maison dans la campagne, au sud du pays, près de Malmö dont elle est originaire. Elle y passe peu ou prou la moitié de son temps, dans la mesure où le temps d’une cantatrice peut se découper en tranches mesurables, alors que son agenda est celui de tous les chanteurs très demandés : il est constellé par les périodes de répétitions et de représentations d’opéra à travers l’Europe. Cette année, Genève y occupe une place de choix avec six semaines consacrées à Tristan et Isolde. Les répétitions ont commencé mi-août, quelques jours après notre rencontre lipsienne (car tel est l’adjectif de Leipzig, hérité de son passé slave). Elisabet Strid pourrait être tendue par l’approche de cet opéra entre tous périlleux pour ses deux protagonistes principaux. Isolde doit en particulier tout donner dès le premier acte, et revenir à la fin de l’ouvrage, après une interruption pour elle de plus d’une heure, le temps que Tristan chante son interminable agonie, et chanter la «mort d’Isolde» qui conclut l’opéra, ce chant ineffable d’amour et d’adieu à l’amour, redoutable entre tous. «C’est très difficile, il faut réchauffer la voix qui s’est détendue et retrouver une fraîcheur intacte pour attaquer l’air en douceur avant de remonter pour déployer des aigus immenses », convient la chanteuse. Heureusement pour elle, ces aigus, Elisabet Strid les a faciles. Soprano dramatique dont la voix s’est rapidement étoffée pour conquérir les grands emplois chez Wagner et Richard Strauss, elle surplombe sans difficulté apparente ces nappes célestes et projette loin sa voix ample. Chemin faisant à travers le parc, on évoque avec elle la lignée curieusement fournie de sopranos suédoises qui se sont illustrées dans les grands rôles wagnériens, d’Astrid Varnay à Nina Stemme. Et surtout Birgit Nilsson. « C’est un modèle pour toutes les sopranos qui chantent Wagner, je crois, explique Elisabet Strid. En tout cas c’est le mien.» Mais pourquoi la Suède ? « Je pense que nous avons une excellente tradition chorale de voix claires, presque cristallines » – des adjectifs qui évoquent le climat et les paysages du Nord. «C’est ce que je recherche moi aussi, ce fameux “silverbeam”». En d’autres termes, la voix dardée comme un rayon argenté, au timbre serré et à la projection très claire. ![La présence de nombreux parcs, comme ici le Johannapark, a été un élément déclencheur pour l’installation d’Elisabet Strid à Leipzig. « Nous, Suédois, avons une relation particulière à la nature. » Une disposition constitutionnelle prévoit même que la nature est accessible à tous gratuitement. — © Felix Adler pour le Grand Théâtre Magazine](https://letemps-17455.kxcdn.com/photos/a6b7e4a1-816d-471d-98a1-3b6bec47d98f/large "La présence de nombreux parcs, comme ici le Johannapark, a été un élément déclencheur pour l’installation d’Elisabet Strid à Leipzig. « Nous, Suédois, avons une relation particulière à la nature. » Une disposition constitutionnelle prévoit même que la nature est accessible à tous gratuitement. — © Felix Adler pour le Grand Théâtre Magazine") Elisabet Strid s’amuse à prendre la pose au gré de notre promenade dans le parc. Leipzig, pour elle, c’est autant la nature que la culture – on y reviendra. La nature, car quand on lui demande ce qu’il y a de suédois en elle, c’est elle qui lui vient à l’esprit. « Chez nous, la nature a une place prépondérante. On a tellement d’espaces inhabités, on peut rouler des heures sans voir aucune construction. D’ailleurs, la Constitution suédoise comporte une disposition unique au monde. Ce « droit à la nature » dit que tout le monde peut y nager, s’y promener, y naviguer librement. On peut planter sa tente ou dormir à la belle étoile partout en Suède.» Mais si elle a établi à Leipzig sa base lyrique, il y a une dizaine d’années, c’est que le répertoire et les théâtres allemands ont pris une place importante dans sa carrière. Un peu d’amour s’est joint à l’impératif professionnel, et alors que la plupart des musiciens choisissent Berlin, Elisabet Strid a préféré cette ville « à la fois grande et petite », moins excitée que la capitale, mais imbibée de culture. Bach qui y fut Kantor, Mendelssohn qui en a dirigé le fameux orchestre du Gewandhaus et qui y a fondé le premier conservatoire de musique allemand, Wagner qui y est né… et aujourd’hui un opéra de grande allure, et surtout la fameuse salle du Gewandhaus, dont l’orchestre est resté l’un des meilleurs du monde. Les deux institutions se font face sur l’Augustinerplatz où se déroulèrent les grandes manifestations, soutenues par le chef d’orchestre Kurt Masur, qui furent l’un des déclencheurs de la chute du Mur de Berlin en 1989. «J’ai chanté ici mon premier Wagner, Freia dans l’Or du Rhin en 2013. J’ai découvert la ville à cette occasion. J’y ai tout de suite senti une âme. J’y suis revenue souvent, pour Wagner : Ada dans l’opéra de jeunesse Les Fées, puis Senta dans Le Vaisseau fantôme, Elisabeth dans Tannhäuser… Et c’est aussi le lieu de ma prise de rôle dans Salomé de Richard Strauss, en 2017, que je rêvais de chanter depuis longtemps. Je me sens chez moi, ici. L’architecture est splendide, on voit toutes les strates de l’histoire allemande. Et il s’y passe toujours quelque chose. » ![La Thomaskirche, l’église dont Jean-Sébastien Bach fut le Kantor de 1723 jusqu’à sa mort en 1750. Il y a créé un nombre incalculable de chefs-d’œuvre. Sa dépouille y est déposée dans le chœur, sous une modeste plaque portant son nom. Si Elisabet Strid ne chante pas sa musique, elle l’écoute beaucoup, notamment après avoir chanté Wagner, pour se purifier. — © Felix Adler pour le Grand Théâtre Magazine](https://letemps-17455.kxcdn.com/photos/f40ca33c-e583-465d-b225-b9cd8fae1533/large "La Thomaskirche, l’église dont Jean-Sébastien Bach fut le Kantor de 1723 jusqu’à sa mort en 1750. Il y a créé un nombre incalculable de chefs-d’œuvre. Sa dépouille y est déposée dans le chœur, sous une modeste plaque portant son nom. Si Elisabet Strid ne chante pas sa musique, elle l’écoute beaucoup, notamment après avoir chanté Wagner, pour se purifier. — © Felix Adler pour le Grand Théâtre Magazine") Nous sommes entre-temps arrivés à la Thomaskirche – le centre-ville se visite facilement à pied. Le cœur des amoureux de Bach bat plus fort à l’approche de cette église, qui comme l’église Saint-Nicolas distante d’une poignée de minutes fut la destinataire des œuvres les plus grandioses du compositeur, ses Passions, sa Messe en si… Pourtant, Elisabet Strid n’a guère chanté Bach, ni la musique baroque en général. «Je crois que chaque voix a son propre domaine d’élection, et la mienne est plutôt faite pour le grand romantisme.» Mais elle vénère bien entendu le génie de Bach, dont les ossements retrouvés tardivement ont été enfouis sous le pavement de l’autel, indiqués par une sobre plaque gravée à son nom. «J’écoute beaucoup cette musique après avoir chanté un opéra de Wagner. Car cet univers est une sorte de poison, sublime mais redoutable. Il faut s’en nettoyer pour reprendre pied ensuite.» Et cela, elle ne le fait nulle part mieux que dans sa maison villageoise, en Suède, assise sous son pommier. « La vie de chanteur est faite de beaucoup de solitude », enchaîne Elisabet Strid à la sortie de l’église Saint-Thomas, en parcourant les rues piétonnes du centre-ville, percées des splendides passages où les commerçants déposaient leurs stocks pendant les foires marchandes qui ont assuré la prospérité de la ville, dès le Moyen Âge. Les boutiques ressemblent ici à celles de n’importe quelle «main street» globalisée. Elisabet Strid convient que le shopping, parfois, lui permet « d’amortir les coups de blues» liés aux longues périodes d’exil dans les villes où elle chante. Les choses sérieuses ont commencé plutôt tard dans la vie d’Elisabet Strid, même si elle chantait beaucoup, enfant – «mais sous la table, j’étais très timide». Une professeure l’a prise sous son aile dans la meilleure académie de Suède alors qu’elle n’avait pas fait d’études musicales. Mais comme la perspective de carrière paraissait alors bien incertaine, elle a fait une formation d’infirmière avec une spécialisation en psychiatrie, puis pratiqué pendant quelques années. « C’est dur, mais j’ai appris des choses sur les états de “folie” qui me sont très utiles pour mes rôles. Beaucoup d’héroïnes côtoient ce type de dérèglements, surtout chez Wagner !» Si elle n’avait pas été cantatrice, Elisabet Strid aurait fait du théâtre. Jouer est pour elle aussi important que chanter. «J’aime les metteurs en scène qui travaillent la psychologie des personnages en profondeur. Et qui viennent chercher mes limites.» Aujourd’hui, sa carrière a atteint le point culminant où on la demande dans les plus grandes maisons d’opéra : elle peut choisir. D’autant qu’elle doit être sélective pour maintenir son instrument – « Tous ces renoncements, c’est parfois terrible…» Mais l’abord d’un nouveau spectacle tient toujours d’une forme de loterie : les chanteurs signent deux ou trois ans à l’avance pour une production sans avoir la moindre idée de ce que le metteur en scène en fera, ni comment le chef d’orchestre va se comporter avec eux, à moins d’avoir déjà travaillé avec eux. «On ne peut que prier pour que tout aille bien.» ![Sur l’Augustuplatz, face à l’Opéra, le Gewandhaus et son architecture brutaliste d’après-guerre abrite l’orchestre du même nom, qui reste l’un des meilleurs du monde. C’est ici qu’eurent lieu les manifestations qui déclenchèrent la chute du Mur, en 1989. Avec ses édifices de styles et d’époques mélangées, la place raconte plusieurs siècles d’histoire. — © Felix Adler pour le Grand Théâtre Magazine](https://letemps-17455.kxcdn.com/photos/0ea7e5e8-08ab-4530-b444-cfcecf22fcb7/large "Sur l’Augustuplatz, face à l’Opéra, le Gewandhaus et son architecture brutaliste d’après-guerre abrite l’orchestre du même nom, qui reste l’un des meilleurs du monde. C’est ici qu’eurent lieu les manifestations qui déclenchèrent la chute du Mur, en 1989. Avec ses édifices de styles et d’époques mélangées, la place raconte plusieurs siècles d’histoire. — © Felix Adler pour le Grand Théâtre Magazine") Et parfois, ça déraille franchement. Comme cette production de Tannhäuser de Wagner, dans une ville allemande, en 2014, pleine de nazis et de chambres à gaz. Le tollé fut tel que la mise en scène fut retirée dès la deuxième représentation, et le spectacle fut donné en version de concert. «Une catastrophe ! se souvient la cantatrice. Tout ce travail gâché… Mais il faut aussi savoir ne pas aller trop loin dans la radicalité. Je pense que ce type d’excès a découragé beaucoup de gens d’aller à l’opéra. Pourtant, ils voient des choses bien pires sur leurs écrans.» Leipzig, en ce mois d’août, est tapissée d’affiches électorales en vue des élections du Land de Thuringe qui se sont tenues début septembre. Un test national où on attendait une nouvelle progression de l’AfD, l’Allianz für Deutschland, cette extrême- droite qui fait des scores canons en ex-Allemagne de l’Est. Mais aussi un baromètre pour la nouvelle formation de gauche, le BSW, fruit d’une sécession avec Die Linke créé par Sarah Wagenknecht, qui milite pour une limitation de l’immigration économique, accusée de faire une pression à la baisse sur les petits salaires. ![Le centre de Leipzig est largement piétonnier, et témoigne par la richesse de son architecture (pour autant qu’elle n’ait pas été détruite pendant la Seconde guerre mondiale) du passé florissant de la ville, qui eut le privilège de foire depuis le Moyen âge. — © Felix Adler pour le Grand Théâtre Magazine](https://letemps-17455.kxcdn.com/photos/bbfc52ca-b2b8-4b89-8eb3-f841fd1e6b2a/large "Le centre de Leipzig est largement piétonnier, et témoigne par la richesse de son architecture (pour autant qu’elle n’ait pas été détruite pendant la Seconde guerre mondiale) du passé florissant de la ville, qui eut le privilège de foire depuis le Moyen âge. — © Felix Adler pour le Grand Théâtre Magazine") Elisabet Strid observe cela d’un peu loin, n’étant pas électrice, mais elle y voit des similitudes avec le virage droitier de la Suède « qui est pire », juge-t-elle. « Les tensions sont si nombreuses dans tellement de lieux que j’ai peur d’une escalade. Je ne vois pas qui pourrait stopper ça. Tout le monde devrait être inquiet de l’état de tension dans le monde, et devrait tenter de faire en sorte de l’éviter. » L’art, la musique, sont-ils d’un quelconque secours face à cela ? « Je pense qu’il reste notre refuge et un lieu où prendre conscience des vraies valeurs, de ce qui compte vraiment. C’est bon pour l’âme. Mais on sait que la musique n’empêche rien, voyez comment les nazis ont utilisé Wagner pour exalter les foules… Et pourtant, il a composé une des plus belles musiques du monde. » Wagner est en effet le marqueur de la cantatrice. Elle vient de chanter Senta, dans Le Vaisseau fantôme, à Covent Garden, à Londres. Elle y a récolté des critiques superlatives. En 2022, à Leipzig, elle avait été une des étoiles du projet « Wagner 22 » qui a présenté tous les opéras du compositeur. Elle y a chanté quatre rôles en deux semaines ! Un pari fou pour cette artiste si raisonnable, qui sait que de tels opéras peuvent ruiner une voix si on ne fait pas tout pour économiser ses forces. ![La gourmandise n’est pas un vilain défaut pour la chanteuse qui choisit la meilleure Konditorei de Leipzig, le Kaffeehaus Riquet, dans son décor Jugendstil, pour une pause « Kaffee-Kuchen » indissociable de l’art de vivre germanique. — © Felix Adler pour le Grand Théâtre Magazine](https://letemps-17455.kxcdn.com/photos/9e195470-93b6-4f03-a0af-c296521fcf52/large "La gourmandise n’est pas un vilain défaut pour la chanteuse qui choisit la meilleure Konditorei de Leipzig, le Kaffeehaus Riquet, dans son décor Jugendstil, pour une pause « Kaffee-Kuchen » indissociable de l’art de vivre germanique. — © Felix Adler pour le Grand Théâtre Magazine") « Vous n’imaginez pas les sacrifices qu’un chanteur doit faire pour pouvoir de temps en temps connaître les activités normales des autres gens : s’asseoir dans son fauteuil avec un livre, regarder une série, cuisiner pour des amis. Le chant prend tout. Les moments magiques que l’on vit sur scène se paient très cher. » Elle chantera Isolde pour la troisième fois, à Genève, après Séville et Copenhague. Ensuite, Brünnhilde, la guerrière du Ring, l’attend à Londres. Wagner encore et toujours – même si sa première Tosca de Puccini est en projet. Alors, lorsque nous visons pour une pause café le Kaffeehaus Riquet, la plus belle « Konditorei » de Leipzig avec son architecture Jugendstil, Elisabet Strid choisit tout naturellement une « Wagnerlerche », une petite pâtisserie fourrée à la pâte d’amandes, décorée d’une pastille en sucre à l’effigie du compositeur. Allez trouver ça ailleurs… ![La gourmandise n’est pas un vilain défaut pour la chanteuse qui choisit la meilleure Konditorei de Leipzig, le Kaffeehaus Riquet, dans son décor Jugendstil, pour une pause « Kaffee-Kuchen » indissociable de l’art de vivre germanique. — © Felix Adler pour le Grand Théâtre Magazine](https://letemps-17455.kxcdn.com/photos/bb98f64d-a6bb-47ef-b5a9-9849b9a960fb/large "La gourmandise n’est pas un vilain défaut pour la chanteuse qui choisit la meilleure Konditorei de Leipzig, le Kaffeehaus Riquet, dans son décor Jugendstil, pour une pause « Kaffee-Kuchen » indissociable de l’art de vivre germanique. — © Felix Adler pour le Grand Théâtre Magazine") * * * La soprano suédoise **Elisabet Strid** est née à Malmö. Elle a découvert sa passion pour l’opéra en participant à une jeune troupe amateure avant d’entrer dans la classe de Karin Mang-Habashy et de poursuivre ses études à l’Académie lyrique de Stockholm. Elle a commencé sa carrière dans son pays avant d’embrasser de grands rôles wagnériens, faisant ses débuts à Bayreuth en 2013 dans le Ring. Elle s’est produite depuis dans les plus grandes maisons avec quantité de rôles wagnériens : Elisabeth, Senta, Eva, Sieglinde, Brünnhilde, Isolde… * * * **_Tristan & Isolde_** au Grand Théâtre de Genève Du 15 au 27 septembre 2024 [www.gtg.ch/tristan-isolde](https://www.gtg.ch/saison-24-25/tristan-isolde/?utm_source=letemps&utm_medium=gtm&utm_campaign=2425_tristan-isolde_gtg_ltm) [Billetterie](https://billetterie.gtg.ch/selection/event/date?productId=10229166760137&utm_source=letemps&utm_medium=gtm&utm_campaign=2425_tristan-isolde_ltm)
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