Voici une sélection, ce 10 janvier 2025, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France. ►...
Vous n'êtes pas connecté
Initialement, je ne comptais pas nécessairement dresser de bilan de cette année 2024 qui a été globalement désastreuse à l’échelle mondiale. Et puis, à force d’en voir fleurir partout, je me suis dit que ça ne serait peut-être pas si mal d’en écrire un aussi : peut-être pas pour vous, ni pour la Mag actuelle mais sans doute pour celle du futur, qui sera heureuse de retrouver ces quelques condensés de souvenirs quand le monde aura flambé [oui, on démarre joyeusement !]. Du côté des livres Ce n’est pas une surprise, en 2024, j’ai moins lu. Au point même de ne pas terminer mon challenge GoodReads (hérésie !) : 70 livres tout juste au compteur, donc. Parmi eux, sensiblement plus de non-fiction (29) que de romans (27), ce qui est une grande première. Les autrices sont toujours largement représentées : 57 autrices pour 10 auteurs. J’ai continué ma découverte de la poésie contemporaine (9). Par contre, depuis que j’ai abandonné la bibliothèque communale, je lis nettement moins de graphiques (3). Je remarque que j’ai totalement laissé tomber la lecture en VO puisque seul Rebecca de Daphné du Maurier me permet de sauver les meubles ! Globalement, je dirais que mes lectures ont été moyennes : j’ai beaucoup de 3* et de 4*, cette année. Davantage que d’habitude, j’ai l’impression. Serais-je devenue plus difficile ?! Ou n’avais-je pas suffisamment d’espace mental pour profiter pleinement de certaines de mes lectures ? Les deux sans doute. Le top du top Parmi les meilleures lectures de cette année, on retient : Les sorties culturelles Je pourrais tenter de me rassurer un peu en me disant que si je lisais moins, c’est parce que je profitais davantage de l’offre culturelle bruxelloise… Mais ne serait-ce pas un pieux mensonge ? Voyons ça. En 2024, j’ai été régulièrement au théâtre. Mes meilleures expériences dans ce domaine furent : Méduse.s à la Vènerie, Maison Chaos de Joëlle Sambi au National ou encore Manon Bril au Kings of Comedy Club. J’ai été voir de très bons concerts, qui m’ont mis la larme à l’œil, toujours en charmante compagnie : Clara Ysé, Patti Smith, Zaho de Sagazan et d’autres moins bouleversants mais tout aussi sympathiques. J’ai aussi fait la petite intello en allant voir des conférences qui, chaque fois, me donnent envie de lire davantage, de creuser les sujets et d’en débriefer pendant des heures : Thomas Piketty et Julia Cagé, Ovidie, les trois kings de la transfugerie [Eribon, Louis et Lagasnerie], Victoire Tuaillon, Pénélope Bagieu et Catherine Ocelot et j’en oublie. Par contre, j’ai largement ralenti les rencontres en librairie [je ne me souviens que de Wendy Delorme]. J’ai continué à rentabiliser mon Museum Pass en allant voir l’expo Ensor sur les natures mortes au MuZee ou celle sur les Surréalistes à Bozar. J’ai écouté des podcasts, mais là encore beaucoup moins : Vivons heureux avant la fin du monde, Encore heureux.ses, Folie douce, Le Book club de France culture… Bref, rien de bien neuf sous le soleil. Mais qu’est-ce que t’as foutu alors ?! Je suis partie en vadrouille en solo ou en duo : en Zélande, à Ostende, en Italie, au Sahara de Lommel, dans les Ardennes, dans les quartiers bruxellois que je fréquentais moins, au fin fond des bois ou encore à Lille, plus récemment. J’ai lâché la rampe niveau sport [mais on va sérieusement reprendre la grimpe avec Fanny dès ce jeudi !] à partir de la rentrée de septembre. J’ai commencé une thérapie [et l’air de rien, ça occupe bien !] et j’ai enfin pris et honoré les nombreux rendez-vous médicaux que je repoussais depuis des mois. Je ne sais toujours pas ce qui ne tourne pas rond chez moi, mais au moins, je ne peux plus dire que je ne sais pas parce que j’évite le corps médical ! Et surtout, j’ai sociabilisé ! Qui l’eut cru ?! Entre les 6 premiers mois de l’année où j’ai testé à peu près toutes les terrasses hypes et les parcs de Bruxelles pour faire un ranking des meilleurs lieux de dates [c’est faux, j’allais toujours aux mêmes endroits, ce qui pouvait devenir risqué à terme] et la seconde moitié de l’année où j’ai soudainement agrandi mon cercle social grâce à un charmant jeune homme aux cheveux rouges [même si la description n’est plus tout à fait pertinente, actuellement], j’ai passé assez peu de soirées seule chez moi ! Tout cela m’a laissé moins de temps pour lire mais m’a permis d’ouvrir pas mal mes horizons culturels et d’intégrer un book club féministe où on va pouvoir aiguiser notre misandrie en se partageant des recommandations littéraires d’autrices badass. Alors certes, j’ai fait baisser mes stats GoodReads mais je dois dire que cette année 2024 a été plutôt réussie ! Et toi, ça donne quoi ton bilan personnel de cette année 2024 ?!
Voici une sélection, ce 10 janvier 2025, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France. ►...
Voici une sélection, ce 10 janvier 2025, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France. ►...
Vous l’avez remarqué, la régularité ne fut pas mon fort en 2024. Avant de clôturer l’année, je voulais vous parler des dernières lectures...
Depuis plusieurs années, j’aime me concocter une pile annuelle pour le bonheur de ne pas la respecter. Il semblerait néanmoins qu’en 2024,...
Voici une sélection, ce 2 janvier 2025, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France. ►...
Décembre, tu auras clairement été le mois le plus gris depuis bien longtemps ! Heureusement qu’on a trouvé d’autres moyens d’apporter un peu...
Au cœur du Pacifique, l’île de Pâques voit s’échouer sur ses côtes des millions de déchets en plastique chaque année. Le petit territoire...
Voici une sélection, ce 8 janvier 2025, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France. ►...
Voici une sélection, ce 6 janvier 2025, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France. ►...
Le Festival international des arts plastiques de Settat (FIAPS), dont la 20ᵉ édition s’est tenue du 20 au 23 décembre dernier, « offre une...