Maroc - INFORMATICIEN.BE - Actualités - 03/May 12:45

Les Passkey sont un succès auprès des utilisateurs de Google, mais les utilisez-vous vraiment autant ?

A l'occasion de la Journée mondiale des mots de passe , Google a souligné ses progrès en matière de Passkey , précisant qu'ils seront bientôt compatibles avec le programme de protection avancée (APP) , qui est le programme qui offre une plus grande protection aux utilisateurs de comptes Google de haut niveau tels que les journalistes, militants, hommes politiques et chefs d’entreprise. Entre autres choses, le géant de Mountain View a précisé que "les Passkey ont été utilisés pour authentifier les utilisateurs plus d'un milliard de fois dans plus de 400 millions de comptes Google". Rappelons que le support sur Android et Chrome a été introduit fin 2022, tandis que les comptes Google ont reçu cette possibilité en 2023. Ainsi, Google a officialisé que le programme Advanced Protection prendra bientôt en charge les Passkey afin de "contribuer à réduire la barrière à l'entrée de l'APP tout en fournissant une authentification résistante au phishing". Les utilisateurs les plus à risque – par exemple les journalistes et les défenseurs des droits de l'homme – pourront s'inscrire avec n'importe quel mot de passe, en plus d'utiliser leurs clés de sécurité matérielles. De plus, ils pourront également utiliser des Passkey comme seule méthode d'authentification ou avec un mot de passe. Google a également ajouté que Cross-Account Protection , qui partage des notifications de sécurité concernant les activités suspectes sur le compte Google d'un utilisateur avec des applications non Google connectées, bénéficiera de "collaborations supplémentaires". Cela permettra à d'autres applications et services connectés à votre compte Google d'utiliser vos informations de sécurité personnelles pour protéger davantage vos autres comptes. Il s’agit d’un grand pas en avant dans la mesure où les pirates utilisent souvent un point d’entrée initial pour accéder ensuite à davantage d’informations. (Lire la suite)