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Je séchais un peu pour le choix du #fantastiqueclassique de septembre, autour du thème de l’adolescence. J’ai finalement choisi de re-sortir Bonjour tristesse, que j’avais déjà lu une première fois quand j’étais toute jeune adulte. M’aura-t-il davantage convaincue à la deuxième lecture ?! Pas sûre… Résumé La narratrice, Cécile, a 17 ans et passe l’été dans le sud de la France, en compagnie de son père et de sa jeune maîtresse, Elsa. L’héroïne et son père ont une vie relativement dissolue : à la ville, ils donnent plus d’importance aux mondanités qu’aux études de la jeune fille ; pendant l’été, leurs journées ne sont qu’indolence au soleil et leurs soirées sont régulièrement arrosées. Cela, jusqu’à l’annonce de l’arrivée d’Anne, une ancienne amie de la mère de Cécile, auprès de laquelle le père s’est régulièrement tourné pour encadrer l’éducation de sa fille. L’été risque donc de prendre un tout autre tournant… Ce que j’en ai pensé ?! 15 ans plus tard, je ne suis toujours pas convaincue par Bonjour tristesse. Certes, il y a de très jolies phrases et on ne peut que saluer la qualité de l’écriture de l’autrice qui était elle-même adolescente au moment de la rédaction du roman. Mais j’ai trouvé l’ensemble des personnages assez caricaturaux et peu développés psychologiquement, malgré le fait que la narratrice se targue souvent de bien comprendre le fonctionnement des autres protagonistes, qu’elle manipule. De plus, j’ai trouvé que la fin était assez peu crédible, en regard du personnage qu’elle avait forgé. J’ai peine à croire qu’une femme aussi dure et sûre d’elle réagisse de cette manière, surtout après si peu de temps. Car, et c’est sans doute ce qui me fait dire que cette histoire est peu crédible, tout est censé se passer seulement sur quelques semaines. Alors bien sûr, un doute subsiste, mais rien que la réaction initiale me semble disproportionnée [oui, désolée de rester aussi nébuleuse, je ne veux pas trop divulgâcher pour celles et ceux qui voudraient encore le lire]. De même, peut-on vraiment croire que deux personnes ayant entre 25 et 30 ans acceptent si facilement de rentrer dans le jeu d’une gamine de 17 ans ? Si oui, on devait vraiment beaucoup s’ennuyer pendant les vacances, dans les années 50 ! Par contre, il faut noter que l’autrice parvient très bien à rendre l’ambiance lourde et suffocante de certaines journées d’été où la chaleur pourrait nous faire perdre la tête. Bref, peut-être devrais-je retenter de lire Sagan avec un autre roman mais Bonjour tristesse n’est vraiment pas fait pour moi. Si vous avez un titre à me conseiller, je suis preneuse ! Infos pratiques
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